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Deux diplômées font partie des 10 femmes les plus puissantes des Hauts-de-France

14 mars 2023 Parcours

Alors que 20 % seulement des postes de dirigeants salariés sont occupés par des femmes dans les Hauts-de-France, d’après l’INSEE, la Voix du Nord, journal régional, vient de mettre en lumière les dix femmes les plus puissantes de la région. Dans ce panel, figurent Corinne Molina et Amélie Debrabandère, deux diplômées du programme Grande Ecole de SKEMA Business School. 

 

Quelques jours après la publication de l’étude « Diversité et Inclusion au sein du CAC40 » du professeur Michel Ferrary, directeur de l’Observatoire SKEMA de la féminisation des entreprises et chercheur associé à SKEMA, et dans la foulée de la Journée Internationale des droits des femmes, la Voix du Nord vient de faire paraître un article sur les dix femmes les plus puissantes de l’économie des Hauts-de-France.

 

Amélie Debrabandère, diplômée du programme Grande Ecole (PGE, 1992) figure dans cette liste : directrice générale de SIA Habitat depuis 2021, un bailleur social dont le siège est à Douai, elle « a réalisé l’ensemble de son parcours dans le secteur du logement social dans la région Hauts-de-France », peut-on lire dans la Voix du Nord. En 2023, Amélie Debrabandère est à la tête de 640 salariés dans le Nord et le Pas-de-Calais.

 

Une femme dirigeante d’une entreprise industrielle

 

Originaire d’un village de la région arrageoise, Corinne Molina est la seconde personnalité féminine diplômée de SKEMA à être mise à l’honneur par la Voix du Nord. Diplômée du programme Grande Ecole (SKEMA 1985), la chef d’entreprise est à la tête de Mäder, une entreprise spécialisée dans les peintures et composites pour l’industrie installée à Villeneuve d’Ascq, dans la proche banlieue lilloise. 

 

En 2023, l’entreprise emploie 700 personnes et en 2019 son chiffre d’affaires était de 200 millions d’euros. Interviewée en 2021 sur le leadership féminin dans l’industrie par le magazine BeCrazy, elle déclarait : « Dans le monde industriel, on rencontre peu de femmes sur les postes de dirigeant ou de responsabilités techniques. Il faut les aider à développer leur présence dans ce secteur, et je suis heureuse de participer à ce mouvement. Mais je ne suis pas dans la lutte ou le combat. Il faut discrètement faire changer les choses et les mentalités, avec humilité et simplicité. »

 

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